Jérusalem, mon coeur

Siroter un café à la cardamome dans une échoppe de la vieille ville de Jérusalem, assister au coucher du soleil sur la Ville sainte du sommet du mont des Oliviers et au lever du soleil sur la mer Morte du haut de la forteresse de Massada, traverser Tel-Aviv à pied et le désert du Néguev en jeep, dormir dans une auberge de jeunesse datant de l’époque des croisés : le voyage en Israël est à la fois un voyage dans l’espace et dans le temps.
Israël, berceau du christianisme et du judaïsme, accueille chaque année des centaines de milliers de pèlerins venus y retrouver les origines de leur foi.


Jérusalem est aussi le troisième Lieu saint des musulmans. Tout périple en Israël passe obligatoirement par la vieille ville où l’on circule entre les trois grandes religions monothéistes (judaïsme, christianisme et islam).

L’église du Saint-Sépulcre ou basilique du Saint-Sépulcre, également appelée basilique de la Résurrection  est une église chrétienne située dans le quartier chrétien de la Vieille ville de Jérusalem. Cette basilique est vénérée par une grande partie des chrétiens qui y vont en pèlerinage depuis le ive siècle, dépassant au début duxxie siècle le million de pèlerins par an sur les 1,9 millions de visiteurs qu’accueille Israël. Il s’agit d’un sanctuaire englobant selon la tradition le lieu de la crucifixion (le Golgotha), ainsi que la grotte où le corps du Christ fut déposé après sa mort (le Saint-Sépulcre ou tombeau de Jésus). Par inférence, c’est là qu’aurait eu lieu la résurrection (Anastasis, en grec « Résurrection »).

Enjeu symbolique fort, l’église accueille les cultes de plusieurs confessions chrétiennes différentes. Toutes ces communautés y sont protégées par le statu quo sur les lieux saints. Elle est également un des sièges du patriarcat arménien et orthodoxe de Jérusalem.

Le mur des Lamentations à Jérusalem, également appelé Mur occidental, ou HaKotel en hébreu, est un vestige du second temple de Jérusalem, tel qu’il a été reconstruit et embelli par Hérode à partir du Ier siècle avant J.-C. Le temple fut cependant détruit en 70 après J.-C., lors de la guerre judéoromaine. Le pan toujours visible aujourd’hui constitue la partie inférieure du mur de soutènement de l’esplanade, qu’Hérode avait fait agrandir lors des travaux.

Le Tombeau de David est un site considéré comme le lieu de sépulture de David, roi d’Israël, d’après une tradition datant du xiie siècle. Il est situé sur le Mont Sion à Jérusalem, près de l’abbaye de la Dormition. La tombe est située dans un coin de l’ancienne Hagia Sion, une église byzantine. Une ancienne tradition byzantine duive siècle fait de l’endroit le lieu du Cénacle de Jésus et le lieu de rassemblement des premiers chrétiens. Le bâtiment fait à présent partie de la Yeshivat Hatefoutsot.

La Porte de Damas est un ancien passage dans les fortifications de la vieille ville de Jérusalem. Elle se situe entre les quartiers chrétien et musulman. La porte de Damas porte en arabe le nom de « Porte de la colonne » (Bab al’Amoud), car c’est là que se trouvait la colonne érigée par l’empereur romain Hadrien et qui figure sur la carte de Madaba. En hébreu, elle porte le nom de « Porte de Shekhem », c’est-à-dire de « Porte de Naplouse ».

L’Eglise orthodoxe de Sainte-Marie-Madeleine à Gethsémani, dans la partie orientale de Jérusalem, sur la pente des Montagne d’Oliviers. L’église est un exemple de l’architecture russe de style Moscou. Dans l’église est gardé l’icône de sainte Marie-Madeleine avec une particule des ses reliques.

Source: bigpicture.ru

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